Ashraf AboArafe
Hier, Son Excellence le Président Emmanuel Macron, Président de la République française, a reçu les membres du Comité ministériel chargé du Sommet extraordinaire conjoint arabo-islamique avec l’action internationale pour arrêter la guerre à Gaza, présidé par Son Altesse le Prince Faisal bin Farhan bin Abdullah. , Ministre des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie saoudite, et en présence de Son Excellence Cheikh Mohammed bin Abdul Rahman, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de l’État du Qatar, de Son Excellence le Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères et des Affaires des expatriés du Royaume hachémite de Jordanie, Ayman Al-Safadi, et Son Excellence le ministre des Affaires étrangères de la République arabe d’Égypte, Sameh Shukri.
Les membres du Comité ministériel ont discuté avec le Président français de l’évolution de la situation dangereuse qui règne dans la bande de Gaza à la suite de l’agression israélienne en cours et de la nécessité d’intensifier les efforts internationaux visant à un cessez-le-feu immédiat et complet dans la bande. assurer la protection des civils et la fourniture d’une aide humanitaire adéquate et durable dans toutes les régions de la bande de Gaza.
Les membres du Comité ministériel ont souligné l’importance d’incarner l’État palestinien indépendant et souverain sur les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale, et l’importance de la reconnaissance internationale de l’État palestinien, en particulier des membres permanents du Conseil de sécurité, afin que le peuple palestinien puisse exercer ses droits légitimes et parvenir à une paix globale et juste pour tous.
Les membres du Comité ministériel ont renouvelé leur appel à la communauté internationale pour qu’elle tienne l’occupation israélienne responsable des violations et pratiques qui violent le droit international et le droit international humanitaire, soulignant leur rejet total du contrôle de l’occupation israélienne sur le côté palestinien du terminal de Rafah. et empêcher l’entrée de l’aide humanitaire et des secours d’urgence dans la bande de Gaza.
